Les enjeux quantité

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Ces dernières années des problématiques quantitatives sont apparues sur le bassin versant de l’Arve comme autant d’alertes pour les années à venir : arrêtés sécheresse, communes et secteurs en déficit d’eau, baisse du niveau de certaines nappes, faibles débits d’étiages, voire assecs,…

De fait, les acteurs du territoire se sentent de plus en plus concernés et impliqués par les questions quantitatives. Ces préoccupations induisent une réflexion élargie à l’échelle du bassin versant qui invite les gestionnaires à considérer un nouvel angle d’approche et de gestion.
En effet au regard de la tendance d’accroissement de la population localisée majoritairement à l’aval du territoire, la demande en eau potable sera de plus en plus forte, ce qui accentuera la pression sur les ressources. D’autre part les tendances liées au changement climatique laissent à penser que le débit des affluents de l’Arve poursuivra sa diminution et que parallèlement certains usages, telle l’agriculture, seront également plus demandeurs en eau. C’est aujourd’hui l’aval du territoire qui rencontre des tensions, mais le territoire de la moyenne vallée de l’Arve, du fait de son développement également rapide, rencontrera à long terme des problèmes similaires.
Or l’augmentation des prélèvements sur les ressources actuellement exploitées à l’aval du territoire ne représente pas une solution pérenne car certaines nappes souterraines sont sous tension.
De plus l’impact des prélèvements est préoccupant pour les ressources superficielles. On constate en effet des étiages de plus en plus fréquents et de plus en plus sévères, particulièrement à l’aval du territoire (Genevois, Menoge, bassins versants des Foron…). Or on ne dispose pas à ce jour de vision globale et de maîtrise de ces questions. Se pose par exemple la question des prélèvements domestiques et de leurs impacts cumulés.
L’amont du territoire restera globalement moins concerné par le manque d’eau. Cependant les tensions locales actuelles en montagne sur les ressources superficielles s’accentueront notamment en période hivernale où l’accueil des touristes et le recours à la neige de culture génèreront sans doute par endroits des besoins en eau supérieurs aux capacités des ressources superficielles du territoire.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]

Les enjeux quantitatifs sont les suivants :

• Assurer la satisfaction des usages et des besoins des milieux naturels et restaurer les secteurs déficitaires, répondre notamment à l’augmentation de la demande en eau potable de la population permanente en particulier sur l’aval du territoire, et satisfaire les usages de l’eau sur les têtes de bassin d’altitude, en tenant compte de la variabilité de la demande, des ressources et des besoins des milieux.
• Assurer une utilisation optimale de la ressource à l’échelle du périmètre en facilitant le partage de l’eau au bénéfice de l’ensemble des usagers[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »63″ img_size= »full » alignment= »right »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][/vc_column_text][vc_column_text]

Etudes disponibles

Une étude spécifique intitulée « bilan quantitatif global » a été réalisée en phase d’élaboration du SAGE.

Bilan quantitatif global – phases 1 et 2

Bilan quantitatif global – phases 3 et 4[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]